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"Les hommes et les femmes ont par nature des rôles différents dans la société. Si on ignore cette vérité, les enfants n'auront plus de repères."

Est-il seulement besoin de commenter cela ?...

L'égalité homme/femme, un principe qui s'apprend à l'école.

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L'égalité homme/femme est évidemment établie par la loi française, qui dit que "les écoles, les collèges, les lycées et les établissements d'enseignement supérieur (...) contribuent à favoriser la mixité et l'égalité entre les hommes et les femmes". Cette politique d'éducation à l'égalité est un des principes fondamentaux de notre pays, qui met en oeuvre des actions de sensibilisation à l'école par le biais d'activités pédagogiques évoquant la lutte contre les stéréotypes sur les hommes et les femmes.

 

Voilà ce que les études sur le genre apportent à l'éducation des garçons et des filles : l'ouverture des possibles, l'égalité des choix, etc.

Rien à voir avec ce soit-disant enseignement de "la théorie du genre" vilipendé par l'extrême droite.

Et l'avortement, au fait ?

L'avortement n'est jamais anodin. On le sait. Le Front National, de concert avec la "Manif pour tous" et d'autres organisations, apparentent l'avortement à un acte de confort, en hurlant qu'il est anormal de le rembourser. Même de l'autoriser, tout simplement. 

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Rappelons nous que l'avortement peut créer des dégâts psychologiques importants, mais physiques également. Il peut par exemple empêcher une femme de tomber à nouveau enceinte un jour. La notion de "confort" est donc à revoir...

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L'IVG, c'est aussi une question de santé publique ! Une femme qui veut avorter le fera, sous n'importe quelle condition - on le voit suffisamment partout - quitte à mettre sa vie en danger. Interdire l'IVG ne ferait donc baisser en aucun cas les avortements, et pourrait même faire augmenter la mortalité des femmes qui le font de manière clandestine !

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